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Papiers Svp

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  • on est plus près du cœur quand la poitrine est plat...(e)
Louis Bouilhet
http://www.copyrightdepot.com/cd23/00050084.htm
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Vieux Dossiers

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28 janvier 2012 6 28 /01 /janvier /2012 22:27

voici un groupe de mots clés qui ne sont pas sans m'évoquer quelques souvenirs.

Un message reçu sans doute envoyé à la va-vite. Un petit message plein de douceur, affectueux, une pensée pour moi, sur lequel il ne m'aurait fallu faire aucune projection, ne pas vouloir à tout prix imaginer les circonstances qui l'l' avait amené. Le prendre, le savourer.Je n'ai pas su par trop souvent n'en ayant plus des jours durant. Cette angoisse qui m'étreignait.. J'ai préféré la quitter plutôt que de continuer à la faire vivre en moi. Je n'étais pas faite pour cela.

J'attendais une juste sincérité et non des mots jetés comme des pavés qui ne trouveraient jamais ciment.

Les mains, les tiennes, les miennes, toi qui devait écrire sur elles et puis rien.

Un petit jeu entre nous dont je me délectais, le thème était pour moi de décrire la grâce de ton délicieux fessiers.

Par quel hasard sont arrivés ses mots au sein de mes statistiques ? parce que si simple que n'importe qui peut les écrire.

Le plus beau fut sans doute "nuit clair, temps calme, je t'embrasse autant qu'il y a d'étoiles, il y en au moins pour cent ans". ... sans temps. Cet amour a qui j'avais offert une étoile, Je l'avais nommer Intempérance. Etais-ce juste ? Peu importe, la vie continue autrement. La joie revient, l'ombre se fait quelquefois joueuse mais le soleil doit briller comme il l'a fait des années durant.

Je vous embrasse chère main.

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27 janvier 2012 5 27 /01 /janvier /2012 22:47

mot clé écrit texto : "je me suis mi dans une bullle" moteur bing.

J'y vais et là je tombe sur doctissimo, les cancers, les jardins de l'espoir,

très gai comme sujet.

Je vais cesser d'être curieuse de mes mots clés.

Je suis dotée d'une imagination débordante. Je ne suis pas édulcorée.

je ne peux vous livrer toutes les idées qui me passent par la tête.

elles sont de  tous genres, un vrai repère de gangsters.

et ça fait bang !

Pour moi, chercher des infos en utilisant des mots à tout va ou alors consciemment de ce type ou d'un autre comme déjà reçu me cloue les pieds parterre.

Internet , c'est ça ? non. si ! non. si ! c'est l'effet internet. Incroyable ! nous serions en partie cela.

je sais que chacun doit gérer ce qu'il écrit. visiblement, ce n'est pas simple pour tous.

Pourquoi ne serions-nous pas tous dotés de pudeur ? non pas la pudeur àù l'on s'expose, s'exhibe, non, l'autre, celle d'être dans la recherche de trucs morbides, sexuels, rencontres car tellement isolé alors que nous sommes entourés de monde, de connaissances comme nos voisins, nos commerçants, de famille, de copains, d'amis, d'Amis ? Sommes nous les propres gâcheurs de nos vies ? Liberté,  perdue. Egalité, jamais. Fraternité, mot inventé par des manipulateurs.

?????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????,,,,...

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22 janvier 2012 7 22 /01 /janvier /2012 01:19



Aujourd’hui fut une belle journée. Juste un repas à préparer pour les invités. Nous l’avons décidé hier soir, c’est un bœuf bourguignon. Rapide, facile, le secret, le laisser mijoter. Il fera la joie de vos commensaux et vous serez libre pour la matinée.
C’est une belle journée qui s’annonce. Arrive le premier invité, d’un pas léger, il se présente comme une entrée. Le second vous appelle, il attend le premier dans un bar « Le Cancalais ». Vous lui révélez que l’autre est là, tout prêt à s’annoncer. Vous l’entendez pester dans votre combiné et vous répondre « je termine ma bière et nous venons jouer ».
Ça y est nous voici réunit. L’apéro se déroule devant la cheminée, le feu est allumé. Chacun peut réciter son couplet qu’il soit long ou plein de brièveté. Et s’en vient l’heure de s’attabler. Au dessert, une galette accompagnée d’un bon café. Un grand plateau et nous voilà à nouveau devant la cheminée.
Sur des airs de William Sheller, la conversation est légère. S’ils sont rassemblés, il faut bien l’avouer, c’est grâce à la voix du second, lui qui sait si bien tisser et garder l’amitié.
Aujourd’hui, c’est une belle journée. Aucun amphitryon n’est à déplorer au sein de l’assemblée.

 

La nuit va bientôt faire son entrée.
Nos invités ne vont pas tarder à s’en aller.


Fils, il est l’heure d’aller te coucher. Son père l’accompagne pour se laver les dents. Et puis s’en vient l’histoire. La mère, elle, est montée, tout là haut, rejoindre son atelier. Elle est occupée à coudre une housse pour l’un de leurs fauteuils. Un velours à la couleur d’une framboise écrasée pour se marier à une toile rayée noire et blanche. A chacun des silences de sa machine à coudre, elle entend la douce voix du père. L’histoire se termine, l’enfant s’est allongé. C’est au tour de sa mère d’aller le câliner. Elle est là, à côté de son fils et ce soir, elle va le lui souffler : «Tu as un bon papa, je suis très fière d’avoir choisi un bon papa pour mon fils. ».

De là, surgit l’idée, celle qui n’était pas mère avait cherché un père, le père qu’elle avait idéalisé. Elle avait su le dénicher un jour à Melisey, ils étaient à camper. Oui, c’est ainsi que cette femme, à son insu, jeta son dévolu. Sans le savoir, elle avait trouvé le père inconscient dont elle aurait rêvé et qu’elle voyait chez lui pour son futur enfant. Il est né, cette mère ne fut pas détrompée.

Ce soir encore, ce fut une belle soirée. Il descendit l’escalier et déclara à femme qui avait rejoint le rez de chaussé « c’est marrant, notre fils aime les histoires de la mythologie grecque ». Elle pensera alors, ce n’est pas étonnant, sa voix si apaisante, qui vous berce, elle est sûre d’elle car il est sûr de lui. Dors mon enfant, ton papa est là, il sait nous protéger.

Si elle poussait plus loin, elle dirait qu’un jour elle a voulu un homme pour elle toute seule. Un qu’elle n’aurait pas à partager avec son fils.
C’est peut-être aussi ça l’histoire. Les histoires, il y en a des tas, des petites, des grandes, des ordinaires, des joyeuses et des pas-drôles. Elles sont réunies sous le titre « La Vie ».

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18 janvier 2012 3 18 /01 /janvier /2012 21:01

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15 janvier 2012 7 15 /01 /janvier /2012 20:28

qIl parait ue je n'aurais pas du écrire ce que j'ai écrit.

Oui, certains pourraient jouer à ce jeu avec Alice pour la faire souffrir.

après tout, ce sera l'occasion de vérifier pour elle que tout va bien, qu'elle a largué les amarres...

Le Blog est là pour partager les belles choses, je crois que l'analyse d'Alice en est une. ;o)))))))

A bientôt.

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14 janvier 2012 6 14 /01 /janvier /2012 23:47

Alice a peut-être trouvé Docteur. Ce soir, elle était convoquée avec son fils pour s’entretenir avec la maîtresse de ce dernier. Quelques jours plutôt,il racontait à Alice qu’un certain … lui avait pris quatre cartes Pokemon. Pour le fils d’Alice « pris » signifiait « voler ». Pas d’échange règlementaire, pas de négociation dont une carte à terre et alors ramassée par un tiers.

Alice en discute avec lui afin de vérifier (quelle idiotie de notre part) si il maintient ses propos. Et cela sans induire, vous le savez bien. Le mari d’Alice participe aussi à la conversation où l’entretien devrais-je dire…

Alice et son mari ont l’intime conviction que leur fils s’est bien fait extirpé ses quatre cartes. Et alors ? Cela devrait leur suffire.

Et bien non. Alice et son mari, d’un commun accord, décident d’aller voir l’enfant afin de le sommer de rendre son bien à Leur Fils. Où allons nous avec la citoyenneté actuelle. Cet enfant de 10 ans doit apprendre qu’il ne peut voler impunément. Afin qu’il ne soit pas mis à mal en contactant ses parents (on ne sait jamais, certains parents peuvent sévir au-delà de ce que la situation implique), nous décidons de nous adresser directement à lui.

L’enfant est difficile à interpeller. Alice finit par le coincer dans un couloir. Elle se dirige droit sur lui en le fixant des yeux. Elle ne lâche pas le regard de « ce sale gamin ».

« - Tu as pris trois cartes à mon fils, tu le lui rends immédiatement. »

Le gamin déloge, immédiatement,  de son cartable, les cartes. Il en tend une au fils d’Alice et déclare

« - les deux autres, je ne les ai plus, je les ai échangées. »

Alors intervient une maîtresse,

« - c’est pour ce genre d’histoire que l’on ne veut plus que les parents entrent dans l'enceinte de l’école sans y être invités. » Le jeune garçon profite de ce moment de distraction pour se carapater. Trop tard. Alice explique la situation à la maîtresse qui a raison et dit en résumé

« - peu importe. »

Mais Alice, en bonne mère teigneuse et soucieuse de sa progéniture a décidé de ne pas lâcher pas le morceau. Elle s’y aggrippe comme à un os.

Comme un prolongement d’elle-même, son fils ; ils n’ont pas besoin de lui pour établir une vérité.

Et les larmes coulent alors une à une, tout doucement, sur les joues d’Alice. Elle ne peut pas se contenir devant la maîtresse. Elle ne sait pas alors…

Qu’est ce que représente la maîtresse pour Alice ?

C’est l’adulte. C’est celle qui sait. C’est celle que l’on ne peut détromper…

Alice a du boulot, elle n’a pas fini de rencontrer Doc Maboule pour pleurer, lui raconter les petites misères de sa vie. Quel drame !

 

Vous souvenez-vous de ce qui a amené Alice chez le psy ? vous en ai-je déjà parlé ? Je ne sais plus, excusez moi.

 

Alice a cru qu’il avait besoin d’elle. Elle est sûre de l’avoir lu dans son regard, elle entendait ces signaux de détresse si chers, si indispensables.  Ils étaient parfaitement orchestrés. Alice fut flattée.

Alice ne voit pas de l’amour dans les yeux de l’autre. Elle ne veut  voir que du BESOIN, du besoin d’ELLE. Et là, elle peut tomber amoureuse…de ce besoin qu’elle veut si fort d’elle. Elle est ainsi. Si tel n’est pas le cas ou si elle ne peut aider réellement, l’angoisse la saisit, l’étreint si fort, une étreinte douloureuse aux flots aigûs.

 

Interlude

Et pour vous comment cela se passe-t-il ?

Non, Alice déconne. Elle ne veut rien savoir.

 

Suite à sa dernière séance, Alice dirait aujourd’hui à Doc Maboule

« - vous m’avez fait croire que vous aviez besoin de moi, pour me  comprendre et me verbaliser ce qu’il en était pour moi. Vous penchiez la tête en me fixant. Et là, j’ai encore voulu voir ce besoin de MOI. Vous l’avez verbalisé en demandant d’en dire davantage.

Avec vous Alice ne tombe pas amoureuse mais trouve, à travers la relation, ce point qui résonne en elle, qui la déraisonne. C’est parce que vous avez saisi très rapidement ce qui amenait, Alice, chez vous.

Et, comme avec chaque patient qui souffre du même mal, vous avez mis sa machine cérébrale en route, l’écoute de soi.

43 piges, lors de votre première rencontre, avec elle.  Harnachée de son histoire dorée d’adultes qui lui rabâchent

« - ce n’est pas bien de ne penser qu’à soi, il faut d’abord secourir les autres, et en premier, tu commenceras par ta mère.». 

En prime, dernière d’une fratrie de huit enfants. La chanson de « ah c’est votre dernière, c’est la plus gâtée…et gnagna na.

Et voici comment Alice s’est embrigadée pour de longues années de souffrance. Que non t-ils pas tous besoin d’Elle !!! Et la voilà partie pour des années de râteaux de blessure d’amour propre.  

Pourquoi ? Parce que tout le monde n’est pas éduqué ainsi. Il en est qui peuvent vivre seul et pourtant entouré des autres. Ils en sont suffisamment détachés pour ne pas souffrir, à ne rien attendre d’eux, et, surtout, pas de besoin d’eux qui ne soit vital. Et ils ont raison.

 

Mais direz vous à Alice, il est resté avec sa femme.

Ce qu’elle raconte ne tient pas la route.

«  - Il a donc besoin d’elle…Il a eu aussi besoin d’elle. »

Non. Non. Non. Il a, un jour, trouvé une femme qui elle aussi a cru qu’il avait besoin d’elle et il l’épousa. Lui fit-il croire, tout comme à Alice, de son irrémédiable besoin d’elle ?

« oui, c’est bien ce qu’on te dit  Alice.».

«  - Attendez, elle n’a pas fini son histoire ! (encore un truc qui l’agace çà, les gens qui l’interrompent quand elle est en train de parler ! lol)

C’est bien parce qu’il n’a plus besoin de personne qu’il ne l’a pas choisie. Il ne se posait même pas la question d’un choix. Il l’avait déjà fait par le passé. Ce qui les rassemble et c’est suffisant pour lui, des intérêts financiers en commun. Ok Alice est nettement plus fraîche et plus intelligente mais il n’en a pas besoin, il a déjà connu cela. Elle se fanera elle aussi.

 

Cher Doc, Alice va même jusqu’à se dire

William Sheller chante à sa fille (en a-t-il une ? « - je voudrais une maman qui te ressemblerait… ».

Merci William Sheller,  Alice vous adore. Une ou un enfant est là pour vous faire grandir. Or, ses parents à elle n’en ont fait que la moitié. Ses parents lui ont dit que c’est elle qui avait besoin d’eux. Ils l’ont mis en position de demandeuse uniquement. Ils ne l’ont pas aidé, autorisé à partir doucement d’eux.

Alice, il est grand temps que tu l’apprennes. Voici :

Aime-toi Alice, soit aussi amourorespectueuse de toi, quoique tu fasses, tu en es capable. Tu ne souffres pas de lui mais de toi, de ce foutu sacro saint besoin qu’on ait besoin de toi.

 

Ce type n’a pas fait comme ton mari Alice. Ce dernier qui te dit chaque jour combien il a besoin de toi, combien il t’envie, combien tu es une merveilleuse mère et une excellente maîtresse. Ainsi tu ne souffres pas, il répond à ce dont tu as besoin pour vivre heureuse. Il est étrange que tu ne sois pas devenue assistante sociale ? Un métier qui t’irait comme un gant. Tous ces gens qui auraient besoin de Toi, ce a quoi  on t’a fabriqué « ayez besoin de MOI ».  Une allée qui serait jalonnée et où tu serais sûre d’en avoir toujours sous la main. Les nécessiteux pour certains.

« - Et tu as cru cela, jusqu’à ce soir ? Ce que tu peux être sotte ma pauvre Alice, enfin, mieux vaut tard que…tu connais la suite. »

 

Pourquoi cette histoire n’était pas ou n’est pas encore entièrement résolue avec ce type ? Parce qu’il t’a mis en face de mon miroir. Il a parfaitement su jouer de l’alternance entre « J’ai besoin de toi » et « je n’ai PAS besoin de TOI ». Les moments de souffrance, de grande souffrance étaient bien dans les « je n’ai PAS besoin de TOI ». Et si jusqu’à ce jour, tu n’as pas réussi à t’en détacher, c’est parce qu’il sait qu’en jouant sur FB d’un clic sur tes commentaires ou images en disant « j’aime », quand bien même très rarement, il se met en situation du « j’ai BESOIN DE TOI puisque je pense toi en agissant de la sorte.». Et voilà Alice de nouveau bousculée, replongeant vers tes angoisses comme du temps où ils étiaient amants. Et ce n’est ni plus, ni moins ce que tu demandes, qu’il t’envoie comme par enchantement, comme chez les alcooliques, une période qu’ils connaissent si bien « le marasme doré ».

Il faut qu’Alice se regarde dans le miroir et qu’elle se dise « je t’aime » car, et oui, il est aussi ici à faire d’estime de soi. Alice n’a pas pu se l’autoriser totalement. Heureusement me direz-vous ?

 

Alice se prend les pieds dans les fils. Elle s’emberlificote.

A bientôt.

  Alice n'a pas terminé son propos en espérant que vous ayez réussi à la suivre dans la quête de son miroir.

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14 janvier 2012 6 14 /01 /janvier /2012 00:26

huit pages vues, vous déconnez ou quoi ! un petit effort, un peu de don de soi voyons ! ;o)))

Un juste coucou pour vous en attendant la parution d'un article plus long.  A l'heure qu'il est je le trouve tout aussi iabscons que les autres déjà livrés sur ce blog. Merci.

Bises

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10 janvier 2012 2 10 /01 /janvier /2012 22:26

Incroyable, au départ,  je n'ai  pas osé lire ce que je lisais de mes mots clés. Ma curiosité l'a emporté.

Le cru peut s'écrire s'il passe par la poésie, une belle écriture.

Le cru ne peut se lire comme un bon vin si il est vulgaire. C'est quoi le vulgaire ? Le commun, qui ne se distingue enr rien. Ce serait ma définition.

Un cru vulgaire n'évoque rien, fade au palais, sans robe ni effluve.

Néanmoins, je comprends qu'on puisse être limité dans son langage, un humour particulier alors restez-vous mêmes.

;o)))))))))))))))))))))))))))))))))))))) J'espère que vous avez appréciez ma prose et mon écriture.

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8 janvier 2012 7 08 /01 /janvier /2012 20:27

  Hier soir, c'était un peu la bousculade. Je ne vous dirai pas tout car je vous livrerais une partie de mon intimité restée jusqu'à ce jour et, vous en conviendrez, secrète.

Alors que je pense à un ami, je réalise qu'il n'a pas répondu à mon dernier mail. J'interrogeais cet ami sur son déménagement, à savoir : Le faisait il seul ?

Et là m'apparu l'évidente réalité, je trouvais du bien-être à me sentir indispensable. Ou bien ou aussi, le fait qu'il ne m'ait pas répondu m'angoissait. Il avait trouvé d'autres amis. Il était en pétard après moi. Il était en pétard contre lui. J'ajoute sur ce dernier point qu'il a donc un problème, tout comme moi.

Je reviens à mes moutons.

Me dire que je suis indispensable est, sans doute, dans les plus beaux compliments que l'on puisse m'adresser. Ainsi pour me séduire, je crois.

Voilà qui n'est pas brillant comme constat.Mais maintenant je le sais et je dois abandonner ce besoin. Je n'en serai pas moins aimée.

 

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3 janvier 2012 2 03 /01 /janvier /2012 22:15

Nous sommes revenus. 800 km aller, une bonne allure, ciel clair ; retour, 800 km, une allure moyenne, ciel gris, pluie.

A chacun de nos arrêts, comme il se doit selon le code de la sécurité routière ; je m'égare, veuillez m'exécuser, je rprends mon propos de départ. Donc deux arrêts à l'aller, deux arrêts aiu retour, une collation de son choix. Oui, ces arrêts sont liés au transport de notre fils, Gauvain âgé de 8 ans...et demin comme il se plait à le préciser.  Bref, les mômes nous font changer notre rythme. J'espère que vous souriez. N'oubliez pas mon article à la veille des vacances de Noël. Mon propos pourrait vous ennuyer. Je me permets de vous faire passer ce petit test. Test que je viens de décider en lisant les mots qui vous sont adressés ci-dessus. Prendre un petit morceau de vie et en faire un moment de bonheur. Tiens, je suis un peu moralisatrice sur les bords. Je n'aime pas ce petit côté que je  pourrais avoir où je ne me reconnais pas. Vous arrive-t-il d'être ainsi ? Dite moi "OUI", je vous supplie à  genoux. Rien de pire que de croire que l'on est seul à nourrir  ce sentiment. Alors oui, ok nous sommes arrivés dans les Vosges. Pas de neige ou alors juste petits tas ici ou là. Temps doux pour la saison.Bon , maman va bien malgré sa double fracture du poignet et un visage abîmé. Il ne porte plus les stigmates de sa chute. Il est clair, les traits souriants, tellement contente de nous revoir. Elle est à l'aube de ses 84 ans. Elle assure quant bien même, aujourd'hui, elle est fatigable plus rapidement. Nous irons nous ballader au bord du canal. Le bras en écharpe, elle s'avère vaillantes devant les ronces, les bouts de bois, le chemin étroits, boueux et escarpés. Il faut vous préciser que Gauvain à eu des TW à Noêl. Vëtu de son imperméable d'inspecteur, il a organisé une expédition avec son équipe. Recueillir des indices, c'est son nouveau métier. La ballade divisera l'équipe en deux. Moi et ma mère perdons le contact avec notre chef et son second, Jérôme. Evidemment, je reviens bredouille, sa grand-mère aussi. Eiux , ils reviennent photos à l'appui, du bois et ferrailles en tout genre. Néanmoins, personne n'a souffert de la moindre attaque. Auucne, perte n'est à déclarer.

Je vais vous passer le goûter et le dîner et la nuit. Je vais m'arrêter là non ? je vous imagine déjà en train de penser "où crois t'elle qu'elle vous va nous emmener celle-ci ? Je suis libre, je vais voir ailleurs. Ce n'est pas bien çà. Ce n'est pas gentil. Il faut rester à me lire. Dite-vous bien que cela me demande un effort. Je sais tout effort n'est pas toujours récompensé. Il ne s'agit pas de cela. Ici, il s'agit de votre bonheur et cela vous est indispensable. Non ? pffff, vous êtes aigri et donc autorisé à quitter les idées qui s'agitent dans ma tête en cet instant et, que je partage avec vous. Allez, cette lecture est gratuite. Réalisez, cela ne vous coûte rien ! Votre abonnement internet ? Pipo, sans OB, vous avez d'autres raisons d'y être abonnés. Le goût de l'effort se trouve dans cette production. Je le propose aux professeus qui me liraient. Ne faites-vous pas lire à vos élèves des écrits insipides à leurs yeux et pourtant ils vont s'exécuter et cela jusqu'au dernier mot. Alors un peu d'empathie. Ressentez cette impression du "ras le bol, c'est rasant et incompréhensible".

Je suis en forme ce soir, ne trouvez-vous pas ? Je suis d'humeur taquine !

Pourquoi ? Je n'en sais rien, peut être mon cours de dessin du mardi soir qui me ravit toujours autant par cette ambiance bon enfant. Ou alors es vacances ?

Et pourtant les vacances, si elles commencent bien pour soi, elles peuvent nous ramener très vite aux autres. Ah si j'avais été seule sur terre. J'eus été bien tranquille. Que moi, à me veiller. Ben non, ce n'est pas çà.

Il y a des maladies qui peuvent se soigner ou pas. Et par un simple coup de fil, pour certains, la vie est en train  de basculer, de les bousculer, de leur dire que l'on ne peut pas tout maîtriser, que nous sommes de simples hommes avec les mêmes organes. Et puis un truc qui vient se loger à l'intértieur de l'un d'entre nous et paf, la question qui se pose là alors qu'on avait pas envie de s'en poser "Vais je survivre à ce truc ou va-t-il me faire crever ?" Comme un nouveau voyageur à bord de notre vaisseau pour un terminus rapide ou étalé sur des kilomètres de rails. Ici, à ce moment là, il semble que se soit vers la fin que se dirige ce parcours d'une combattante. Une fin cruelle pour ceux qui vont continuer à devoir vivre sans elle. Une fin de vie à laquelle chacun peut se trouver confronter à différents âges de la vie. Et l'on s'attarde sur la malade. Et ceux qui l'entourent, comment vivent ils cette épreuve ?

bouh, mon texte prend des allures de croque-morts. Ce moment m'a émue, touchée. J'avoue que j'avais preque oublié qu'elle était malade. Elle nous y avait bien aidé. Et cela l'aidait aussi de croire que ça n'existait pas les passagers clandestins.

Oui, c'est triste mais pour l'instant, la vie est encore là et le sera encore après. Mes larmes ont coulées. Mais mon sourire est là. Je ne peux rien faire d'autre que de l'offrir pour réchauffer l'autre, lui faire entendre ce qu'on aime chez lui ou elle, qu'is peuvent compter sur nous pour leur donner un peu de bonheur.

Souriez, vous n'êtes pas filmés.

Je vous embrasse. Et merci ;o)))))))))))))))

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