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Papiers Svp

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  • on est plus près du cœur quand la poitrine est plat...(e)
Louis Bouilhet
http://www.copyrightdepot.com/cd23/00050084.htm
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Vieux Dossiers

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23 novembre 2011 3 23 /11 /novembre /2011 21:22

P1020165.JPGCe n'est pas génial, pas facile le pastel gras ;o))) mais je vous l'offre tout de même, il faut un début à tout. Bises

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22 novembre 2011 2 22 /11 /novembre /2011 18:23

je vais au dessin alors vous ne trouverez rien à vous mettre sous la dent, non, sous les yeux. Rien qui ne vous endorme par une écriture soporifique ou un dessin mal taillé. En attendant de manger, je jetais un oeil sur les mots clés qui me sont gentiment donné par ... je ne sais pas ... en tous les cas, je manque quelquefois de m'étouffer de rire à leur lecture. Ce soir, j'ai droit à "l'ile de raie". Il y a des jours où ils sont encore plus cocasses. Et puis il y a les banals, facebook, tweeter, etc... Voilà. Je vous souhaite à tous une agréable soirée en lecture, en musique ou devant un film, sous la couette à vous faire des nattes, bref.

Merci à tous et surtout à la communauté "Pas plus que" qui a augmenté mon nombre de lecteurs. Et qui risque de se lasser à constater que je ne suis guère présente pour produire et offrir. ;o))))))))))))))

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20 novembre 2011 7 20 /11 /novembre /2011 01:54

L'article Séance Tenante a disparu. une mauvaise manipulation de ma part. Dommage. Peu importe. Aucun danger.

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20 novembre 2011 7 20 /11 /novembre /2011 01:31

 

 

 

Doc Maboule termine la séance en disant à Alice qu'elle doit se pardonner.

.

Alice rentre chez elle. Dépitée. Se pardonner ? mais de quoi mon Dieu   Elle n'a pas été l'élue. Elle pleure. Et elle doit se pardonner. Et lui pardonner à lui du temps qu'on y est...jamais. Alice ne comprend pas ce que ce soit-disant spécialiste du cerveau a voulu lui dire.

En arrivant chez elle, Alice allume son ordinateur. Elle écrit sur son moteur de recherche "se pardonner".

.

Plusieurs étapes pour y parvenir. Alice lit, comprend le mécanisme. C'est beau, c'est sage, ça parait simple.

Ce qu'elle nomme offense reste inscrit dans son histoire. Nul ne pourra lui ôter et pourtant il est bien écrit "se pardonner pour pardonner à l'autre".

Alice ne doit plus alimenter ce feu qui couve en elle. Un feu de tristesse alimenté par ses vergibérations. Plus elle  pensera à lui, à comment a t il oser lui faire çà, plus elle entretiendra ce mauvais feu. Petit à petit, elle se consumera de l'intérieur. 

Elle n'aura jamais que des hypothèses de réponses le concernant. Et puis, qu'est ce que cela changerait fondamentalement pour Alice de savoir ?

"Il"... tiendrait  alors  la clé de sa souffrance ? Ne serait-ce pas lui porter beaucoup d'importance, de puissance ? Lui donner cette force peut elle l'installer, le conforter dans une position de dominant ? Un tout puissant qui pourrait diriger sa vie. Alice, une pâte à modeler dans les mains d'un sculpteur.

Prendre la main.


Vite consulter l'itinéraire via michelin, mappy, peu importe à condition de trouver le chemin le plus rapide pour y arriver. Ici, le moteur de recherche d'Alice se cabre.

La destination lui appartient et le temps pour y arriver ? Idem. La D.D.E. n'a rien à voir la dedans. Dans cet espace, peu importe le type de route pour atteindre son but, des chemins différents empruntés, de l'arrivée dépend de la gymnastique sincère qu'Alice est prête à livrer.


Alice doit se recentrer sur elle.


Lâcher-prise.


Ne plus vouloir à tout prix contrôler.


Pouvoir dire : ça me fait chier de faire à bouffer, ça me fait chier de ramasser les fringues qui traînent partout. ça me fait chier de ne pas dire que ça me fait chier. 

ça veut dire quoi ce truc "se pardonner" ?

ce n'est pas elle qui dit qu'elle a "les ongles qui rayent le parquet...euh...les dents ?".

Lâcher-prise, Alice a sommeil. Alice a une pile d'un mètre de linge à plier. Alice va dormir quand bien même il est 15 h. Alice ne cherche plus à faire ce qu'elle pense bon pour l'autre. Alice accepte la parole de l'autre en ne cherchant plus à y répondre. Alice accepte de ne rien dire. Alice accepte d'aller bosser sans être coiffée.

 

Alice accepte tout ?

Alice accepte de céder aux demandes des uns et des

autres ?

 

Alice accepte que tout ne soit pas rangé à sa place. Alice accepte les petites choses du quotidien qui ne mettent en danger personne. Celles qui ne sont pas indispensables à l'accès au bien être finalement.

 

Enfin, elle croit.


Et puis se profile le visage du mauvais. Toutes les excuses sont bonnes. pour montrer sa contrariété, pour se libérer de ce lâcher-prise.


Contrôle, efficacité, reconnaissance assurée.


Alors la dépression n'est elle pas un exercice de

lâcher-prise ? Un exercice dangereux car possibilité de s'y perdre. Un danger pour soi. Handicapant l'accès au bien être. Il ne s'agit en aucun cas d'un lâcher-prise.

 

Le claquement de  la fonte dans les radiateurs en chauffe. La semi obscurité. Une ambiance feutrée. Une vie dans la vie.

 


 

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13 novembre 2011 7 13 /11 /novembre /2011 11:31

 

Préambule à ce discours :

Quand bien même, cette devise ne serait pas ignorée, il s'agit bien là d'émotions ressenties après cette soirée, aujourd'hui, au petit matin.

 

Saint-Malo. Un concert de musique irlandaise. Un ami. Une amie. L'amie écrit sur FB "mon fils joue ce soir  "à la p'tite".  De la musique irlandaise L'ami répond qu'il sera présent. Ailleurs, une autre amie ouvre son FB. Elle lit les deux messages échangés entre l'ami et la première amie. La seconde amie (vous me suivez)  interpelle son mari et lui demande "une soirée musicale à Saint Malo, le fils de Claude, ça te dit ?". Le mari répond "oui".

Fin d'après midi, l'ami téléphone à son couple d'ami. Il demande " Pouvez-vous emmenez une amie avec vous ?". La femme et le mari amis avec l'ami répondent "oui".

La soirée démarre...tout en douceur pour ensuite nous emporter dans une jouissance.

 

   Ces quelques mots sont plus particulièrement dédiés à Gaël et Sandrine.

Le Malouin ne partira jamais. Le Servantin en particulier. Il habite ici depuis plusieurs générations. Face à lui,  une mer qui dit son mot. Une mer qui vous élève. Une mer qui sait se taire à tord...ou à travers. Une mer qui peut gronder.

Lui, il est sur terre. Cette terre.

 

Elle a formé un pacte avec l'autre. Chacun y a définit, depuis toujours, son territoire. La terre y a placé un gardien. La Tour Solidor.

Celle-ci repousse,

inlassablement,

les assauts quotidiens de la mer.

Une garde immobile. 

A deux,

vivre en paix. 

L'une enlève une vie.

Sur l'autre aussi, les vivants partent.

A comparer, l'une à même un petit avantage sur l'autre.

Oui,

mais l'une à tendance à les enlever  plus jeunes...que l'autre ?

non ?

Mer à terre.

Terre amère.

NON.

L’équilibre se fait.

Tu ne me perds pas dans tes repères.

Tes repères sont mes paires.

Cessez de persifler.

Terre, Mer vous êtes un.

Couple idéal au Servantin, à l'étranger.

Le un que l'on ne veut pas ou plus quitter.

 

Sensible, elle vous raconte,

elle vous montre une infime partie de ce petit bout d'elle,

elle se montre autrement,

naturellement,

elle vous apprend,

elle vous surprend.

 

 

Merci d'être là...

 

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11 novembre 2011 5 11 /11 /novembre /2011 18:03

 

Revenons aux plaisirs afin d’adoucir ce récit…

Les mains …Eveil et plaisir des sens ou la rencontre de l’androcée et du gynécée…

Chères mains, pourvues chacune de leur paume et de leurs cinq inventaires. Se révéler petites fées…il n’y a d’yeux qu’à les regarder danser, virevolter, caresser. Possibilité de créer mille et une variations…de la simple caresse à la plus sophistiquée.

Nombreux à dire, plus elles donneront, plus elles recevront…

 

Découvrir son grain de peau, son calice soyeux, épais, grassouillet, duveteux, poilu, rides d’expression ou liées à l’âge, quelques grains de beauté inscrits ici ou là, au creux de son oreille…aux plis de ses yeux…délicatement dessinés et posés sur sa fesse, au pli de son sexe.

Sa souplesse ou sa fermeté, la chaleur variante de sa chair caressée…

 

Prendre son visage aux creux de nos mains, le caresser, le deviner, fermer les yeux…

 

Découvrir chacun de ses pétales, conter ses ailes, les entre-lignes de son corps ; son pédoncule, son pistil, il aura plus ou moins bon caractère.

Aïe, je vais trop vite, papillon à grandes ailes.

 

Revenons pour effleurer ses épaules fines, pointues, osseuses, carrées ou enveloppées, laissez aller nos mains sur son dos jusqu’à croquer la cambrure de ses reins, ses hanches larges ou étroites, potelées, allez, venez, dessinez ses seins cerises, citrons, oranges ou pamplemousses, poitrine et torse musclé, dodu, leurs boutons invisibles ou charnus, leurs aréoles, caressez les avec vos lèvres ou bien encore mordiller les.

Embrassez jusqu’à nous enivrer.

 

Nous arrivons au centre de son monde, plat, rond, plissé ou non par les grossesses. Il s’y trouve accroché un petit foyer, son nombril, point culminant de la naissance. Pourquoi ne pas s’y attarder, il est si souvent ignoré.

 

Les fesses. Cécilia vous livre ce que celles de Jean ont pu lui inspirer, une impudeur de sa part à cet instant, elle le confesse et vous l’acquiesce !

« Sans aucun doute ton fondement, j’en ferai mon institution, il sera mon règlement, tu en auras la constitution. Ton décret, je le voterai, il sera mon arrêté. Aucun besoin d’une ordonnance, je le prendrai sans prescription, il sera ta toute puissance, tu en garderas la disposition, ton injonction, ma sentence…j’en ferai ma suzeraineté. Petite jurisprudence pour confirmer la légalité de ton délicieux fessier. ».

Ces quelques lignes ne constitue en rien une description érotique et pourtant…

 

Oui, sa croupe peut se réaliser dodue, ferme, musclée, enfantine ou adolescente, quelquefois inexistante…Sa raie, bien dessinée, vous délivre un anus étoilé…

 

Entre ses cuisses, une chaleur doucereuse. Par vos caresses réciproques, elles se laissent écarter enfin pour vous livrer une gorge profonde, un petit jésus… son sexe. Il est préservé par son étamine. Vous vous y attardez. Vous y glissez un doigt ou deux, titillez grandes et petites lèvres.

Caresser par vos mains, votre bouche, deux gros boutons et remonter jusqu’à leur gland.

La fleur peut déjà vous livrer son nectar. Ce pistil, vos lèvres pourront aussi venir s’en régaler, le baiser, lui susurrer des mots d’amour. Par des mouvements de va et vient, il peut briquer  par son nectar le pédoncule… Vous en userez à votre gré.

Tel un puzzle de deux pièces, il ne tiendra qu’à vous de l’assembler.

Fleur, Papillon frémissent. Elle entrouvre un à un ses pétales, caressant le papillon déploie ses ailes, comblé chacun par ces assauts…exulter ? La situation peut tout à fait se retourner…il est juste question de confiance pour une étreinte plus fermée…

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10 novembre 2011 4 10 /11 /novembre /2011 23:49

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7 novembre 2011 1 07 /11 /novembre /2011 09:34

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3 novembre 2011 4 03 /11 /novembre /2011 22:56

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27 octobre 2011 4 27 /10 /octobre /2011 20:01

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