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Papiers Svp

  • : Une bulle sur un narcisse
  • : décrire, écrire, des rires, délires, remède à l'aphasie ? des mots pour tous les cas ;)
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  • La bulle
  • on est plus près du cœur quand la poitrine est plat...(e)
Louis Bouilhet
http://www.copyrightdepot.com/cd23/00050084.htm
  • on est plus près du cœur quand la poitrine est plat...(e) Louis Bouilhet http://www.copyrightdepot.com/cd23/00050084.htm

Vieux Dossiers

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27 mai 2011 5 27 /05 /mai /2011 17:19

 

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26 mai 2011 4 26 /05 /mai /2011 16:54

 

 

Il est de ces visites virtuelles,

Qui fixe un instant de réel

Qui  emmène à l’imaginaire

Elles se révèlent codicillaires

 

Il est des anathèmes atemporels,

Qui se livrent fugitifs pastels

Qui atteste le spectaculaire

Ils vous dénomment affectataires

 

Parfois on les livre en s’étonnant de les lire

Parfois on les garde sans oser rien en dire

 

Oublier ces moments ?

Les signer poésie

 

Il est de ces minutes étincelles,

Qui rive un conflit, des querelles,

Qui vous font jouer buissonnière

Elles s’entrouvrent, coutumières

 

Il  est de ces bohèmes, vectorielles,

Qui  s’écrivent longitude annuelle,

Qui vous  baisent concussionnaire

Elles vous capturent, délétère

 

Parfois on les livre en s’étonnant de les lire

Parfois on les garde sans oser rien en dire

 

Annuler ces instants ?

Les viser à l’envie

 

Il en  est qui démontre, cruel,

Qui se  risque là,  ici, providentiel

Qui vous démène à l’univers

Ils se réveillent emphysème

 

...à suivre...

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25 mai 2011 3 25 /05 /mai /2011 17:05

 

 

Libellule,

S’emparer de la lune,

S’en parler de la dune,

Se décapsule,

Tintinnabule,

S’empêcher, poisson-lune,

Qu’importe l’infortune,

Démantibule,

Sans castrer l’importune,

Sans dire la commune,

S’affabule, Monticule,

Sent l’ombre du scrupule,

Non sens au crépuscule,

N’être plus à la une,

Pinnule,

Sent naître une opuscule,

S’en va, fait la bascule,

S’annule,

Place à la brune,

Pointe la Bulle. ;)))

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20 mai 2011 5 20 /05 /mai /2011 20:25

 

 

O Mage, ô désespoir,

la manipulation meurt, une éructation

lots, vos bataillons de Roses,

Armé, ne baissez pas les larmes.


O Sage, ô illusoire

La domestication nait, la pulvérisation,

et tant d’art en garrot,

soyez en le gens d’arme.

Se dessine Nymphe ose, jouit de votre prose.


Ô Rage, ô laminoir

Faux à l’âme, grandiose,

abdiquer, de chars vous en  parer.

De la terminaison en sera le pardon,

Il ne sera oubli de l’offense subie.

Sens d’un faux air, ne pas scier,

Décapiter l’icône.


 

 

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16 mai 2011 1 16 /05 /mai /2011 18:08

Ouvert, OUVERT, ma boutique est ouverte.

y'a t'il une vie sur cette toile ?

Des scribouilleurs, des plagiateurs, des funambulateurs (vieux ou vieilles qui rêvent en clin d'oeil à Capucine que je viens de découvrir), des malheurs, des bonheurs, bref y'a du lourd, de l'empreinte, des preuves...

Sauf que chacun, dans son p'tit coin.

Toc toc. L'on vous répond OCCUPE.

Ben là non. Je n'entends rien.

L'air de la com' n'est plus dans l'vent.

 

Et si vous osiez...lui à osé. Sur la réserve au démarrant.

Le plein de gazoil et ça roulait. On finit même par se marrer.

Démarrages contrôlés, dérapages en veux-tu, en volée.

Allez v'nez avec nous pour discuter.

Je vous rassure, j'ai des amis de chair et d'os. Je ne vis pas isolée.

J'ai même un mec, un gamin et quelques biens.

J'ai un boulot.

Pour résumer, une vie à vous conter.

Voilà, j'écris...et pas toujours des conneries !

 

ça grouille partout ici ou là de communautés.

Ah Sainte Mère et Saint Père, m'auriez vous abandonnée ?

Je ne serai la commune que d'une personne ?

 

Tan pis j'aurais au moins essayé.

Il vaut mieux un "Et si vous osiez..." que pas d'osier du tout.

Au moins avec lui, je ne m'asseois pas dans le vide.

Merci à cette petite paille réchauffante.

 

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15 mai 2011 7 15 /05 /mai /2011 12:13

Amour

Brûle des ailes à tes détours,

Etal

Pacifiste des dédalles,

Métal

Pluie de diamants à tes escales,

Curieux

A tes désirs adipeux,

De chacun de tes émois,

Las, tu ignores, fi, peu de foi.

 

Amoureux

De la flagrance de tes mots,

Sous emploi

Indélicat, éructe roi,

De tes maux,

Le souvenir gueule le sot,

Des Aurores burlesques,

Maître en oeuvre ubuesque.

 

Vomissure,

en déchiqueter commissure,

Eventration,

Impossible abdication,

De ton sang

La giclée souille le gant

Des honneurs sans signifiant.  

 

Absence

Impossible en maître sens,

Pénétration,

Sourire les éjaculations

Des armés

Des bataillons émasculés,

Sans plus savoir qu’effleurer

Vautrer, l’anathématiser.

 

Blasphème ?

Il en existe et qui l'aime,

Emblématique

Se le brode métaphorique,

Paladins

Mots d’émaux, anges Célestins

Apostasiez

Se délivrer, Si vous osiez...

 

 

 

 

Ceciliabulle-bulle-bulle

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8 mai 2011 7 08 /05 /mai /2011 12:02

Une offrande que certains de vos amis, ou ceux qui se nommaient ainsi, vous offrent...

Un don de sens pour eux. Cadeau surprise. Sans explication. Ignoble. De l'or pour enrichir davantage votre souffrance. Gratuit. Abondance. Ici, l'argent n'a pas d'odeur. Valeur nulle.

Présent parfum à l'odeur de sainteté. Leur Dieu. Prions ces seigneurs. Rois sages, vous êtes mirages.


L'une s'appelle Agathe. A me téléphoner chaque jour.

Moi, à venir la voir dès qu'elle en a besoin. L'accompagner dans ces démarches. L'aider dans son déménagement.

Cela m'est naturel. C'est mon amie.

En arrêt maladie pour état dépressif. Projet : les marchés de Noël. Vendre ses créations. Alors elle produit. Elle n'a de cesse. Espérant une récolte abondante. Le fruit de ses efforts.

Vain. Ni or, ni argent. Revenus pantelants comme une bourse entre deux jambes. Vidée. 


Quelques mois plus tard, Agathe repart sur le chemin des écoliers. Coup de fil : Que j'intervienne au sein de deux de ses classes pour présenter mon job.

Cette idée que je crois sienne lui a été soufflée par un autre...Barnabé.

Autre qui m'offre son silence. Je vous en reparlerai.

 

Un silence ça fait du bruit, deux ça vous assomme.


Seulement voilà, je me trouve en arrêt à mon tour.

Néanmoins, elle continue à me solliciter pour une intervention. Je me vois dans l'obligation de refuser compte tenu de mon statut "maladie". Elle part pour faire son cours. Elle me demande à la vavite des réponses sur l'organigramme de mon employeur.

Une petite manie chez elle avec moi.  Pas d'écoute. Quel dommage...il n'y a rien à faire.

Cuisinière. Elle envisage un cake.  Mes fruits confits au fond du moule. J'espère qu'elle aura fait recette auprès de ses élèves. Ne pas vendre un gâteau racis.


Quelques jours plus tard, je vais chez elle.

Elle m'interroge comme elle l'a déjà fait sur la raison de mon arrêt, ma non reprise, ce sur quoi  je travaille chez le psy et comment.  Le temps qui passe.  Le temps qu'il me faudra. A quand les réponses. Cette conversation m'irrite. 

J'y réponds. Evasivement. Le ton agacé.

Aucune empathie chez Agathe pour comprendre mes difficultés. Sa réflexion s'arrête à me dire : "penser à une réorientation professionnelle". Pourquoi ? Je n'en sais rien. J'aime mon travail bien que la politique et les ambitions de certains professionnels puissent entraîner des retentissements dans la vie du public rencontré... à leur insu. Enjeu difficile à accepter. Politique, arrivisme.


Je pense en silence : projection de ta part Agathe. Ton rêve : un congé sans solde.

Je peux me l'offrir. Tu n'en as pas les moyens.


Ce jour là,  je dois rencontrer mon psy, à savoir vais-je reprendre le boulot  ?


Suite à cette dernière visite, Agathe ne me téléphone plus. Silence radio. Enceintes caput. Fausse couche. 

Elle ne s'enquit pas de savoir ce qu'il en est de moi. Mon arrêt a t il été renouvelé ?

En présent, son silence. Merveilleux. Rien à débourser. Quel tintamarre. 

 

Au fil des jours, je vis ce silence Violence. Abus. Un... comme si de rien n'était.

Qui est tu, belle amie ?

Maux Passante.

 

 

Lorsque je lui fait remarquer, via mail, son silence. Une attitude qui lui appartient. Un choix.

Elle me répond, quinze jours plus tard "je ne sais pas ce que tu as, un peu de silence entre nous s'avère nécessaire"."

Sourde. Aveugle. Un crève coeur. De l'égoïsme. De l'abus psychologique. Avorton d'amitié. De nom, il n'y avait a baptiser cette relation. 

Je rompts ce qui n'a pas existé.

Toxicité dans la relation. L'échange n'est pas de mise. Je me couche.

 

Le silence peut être utilisé...à bon escient. Il a ses recettes. Il peut être salvateur à condition d'en informer l'autre. D'être honnête avec soi-même pour l'être avec l'autre. Le parler. L"écrire. La nature humaine est douée pour engendrer le quiproquo. Les non-dit. Le vacarme y fait place. La rumeur suit sa trace. Je m'enlace. Je me lasse.

Se délasser. Liberté.

 

à suivre...


Céciliabulle-Bulle-Bulle

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5 mai 2011 4 05 /05 /mai /2011 23:27

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2 mai 2011 1 02 /05 /mai /2011 04:59

Chemin de croix, la vie ? Moi, je la dessine… Point de croix.

Viendra l’heure où j’en regarderai l’ouvrage. Coups de traviole. Œuvre abstraite. Prétentieuse.

Ma bobine déroulée sans contrôle. Mon aiguille mal plantée.

Sans mesure dans mes fils et le choix des couleurs. Certains, soleils de soie, d’autres nuages coton.

Enfin, la fibre synthétique. Sans noblesse pour les uns. Je m’en serai parée au lieu de m’en enfuir.

Pour certains, idée d'un ouvrage basse manufacture.

Si de son abstraction, on ne peut donner sens.

Continue ma main de t'emballer.

Départs à l’assaut de ma toile.

Attention trop brutale,

ne pas la déchirer...

 

Ceciliabulle Bulle Bulle

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30 avril 2011 6 30 /04 /avril /2011 04:57

 

Cecilia s'arrête et réfléchit.

Oui, dans ses turpitudes, cela lui arrive...cessez vos moqueries bande de petits gourgandins ;)

Comment vit elle ses aventures ?

Façon bucheronne ?

ou toutes en minauderies sensuelles ?


Que peuvent bien vouloir les lecteurs ?

Epier tels des voyeuristes ?

Butiner tels des papillons, cherchant la fleur ?

la muse, l'égérie ?

le rire, la légereté, l'autodérision ?

Ou cabotiner tels des séducteurs cherchant la proie ?


La distance est là, véhiculée par le récit. Le distillement de ma vie par ce tiers.


Je ne peux explorer le cérébral de chacun et par là, satisfaire toutes les curiosités, les envies.

Etre papillon. Au delà de sa légereté, il est fragile, coloré et gourmand.

Ne pas se brûler les ailes.

Avoir ses propres exigences.

Ephémère son temps est....conté.

 

18 H 30. Le coucou sort de sa boite. Il chante la demi-heure.

Quitter sa machine à mots. Me diriger vers les commodités.

Je tourne la poignée. Ouf, elles sont libres.

Là, me déculotter, jouir d'un plaisir.  Me libérer.

Uriner, défécquer, comme chaque jour à cette même heure.

Instant de tranquilité, à l'abri des regards, se laisser aller à toutes les grimaces.

...à suivre.

 

Ceciliabulle Bulle Bulle

 

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